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dans trois jours
29/04/2005 07:37
et une annee en plus 43printemps.
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ane dans sont pres
23/04/2005 18:28
Un jour, des gens du village virent Nasreddin, assis sur son âne et qui portait lui-même sur son dos un gros sac très lourd.
- Pourquoi portes-tu le sac sur ton dos ? Pose-le donc sur l'âne, à côté de toi !
- Eh, que voulez-vous, mon pauvre âne est déjà obligé de supporter tout mon poids, je ne veux pas lui ajouter encore le poids de ce sac.
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dessin
23/04/2005 18:19
ma nièce les aime
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orangettes
23/04/2005 18:13
3oranges
trentes morceaux de sucre
1/2citron
250g de chocolat noir
2 noix de beurre
1c à cafe d'huile
1c à soupe de cognac.
Incisez la peau des oranges en quatre parties,dans le sens de la hauteur.Retirez ces quartier de peau.Detachez le maximum de partie blanche sous la peau.Taillez ensuite cette peau en longs batonnets.
Plongez ces batonnets d'oranges dans de l'eau en ebullition.Laissez bouillir 5 mn.Egoutez.
Mettez les morceaux de sucre dans une casserole avec 1 verre d'eau et le jus de citron.Portez doucement à ebullition.Melangez quelques instants sur le feu puis ajoutez-y les zestes d'oranges.Couvrez et laissez mijoter sur feu tres doux 20 mn.Egouttez les zestes confits sur une grille . Laissez refroidir 1H .
Cassez le chocolat en morceaux et mettez-les à fondre doucement dans une casserole avec le beurre et l'huile.Lorque le melange est bien homogène ,ajoutez le cognac.apres quelques mn, retirez du feu.Laissez tiédir légèrement.Trempez-y quelques zestes confits.laissez-les s'enrober de chocolat puis retirez-les délicatement à l'aide d'une pince à cornichons ou à sucre . deposez sur un plateau recouver de papier d'aluminium. Deégustez-les une foie refroidis .
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le france
22/04/2005 15:20
Quand je pense à la vieille anglaise
Qu'on appelait le "Queen Mary",
Echouée si loin de ses falaises
Sur un quai de Californie,
Quand je pense à la vieille anglaise,
J'envie les épaves englouties,
Longs courriers qui cherchaient un rêve
Et n'ont pas revu leur pays.
Ne m'appelez plus jamais "France".
La France elle m'a laissé tomber.
Ne m'appelez plus jamais "France".
C'est ma dernière volonté.
J'étais un bateau gigantesque
Capable de croiser mille ans.
J'étais un géant, j'étais presque
Presqu'aussi fort que l'océan.
J'étais un bateau gigantesque.
J'emportais des milliers d'amants.
J'étais la France. Qu'est-ce qu'il en reste ?
Un corps-mort pour des cormorans.
Ne m'appelez plus jamais "France ".
La France elle m'a laissé tomber.
Ne m'appelez plus jamais "France".
C'est ma dernière volonté.
Quand je pense à la vieille anglaise
Qu'on appelait le "Queen Mary",
Je ne voudrais pas finir comme elle
Sur un quai de Californie.
Que le plus grand navire de guerre
Ait le courage de me couler,
Le cul tourné à Saint-Nazaire,
Pays breton où je suis né.
Ne m'appelez plus jamais "France".
La France elle m'a laissé tomber.
Ne m'appelez plus jamais "France".
C'est ma dernière volonté.
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